Ces derniers temps, quand on me demande où j’en suis sur mon activité d’autrice, je dis que je suis :
- bloquée sur la réécriture de mon 5ème roman
- bloquée sur ma stratégie (ou plutôt mon absence de stratégie) des réseaux sociaux
- bloquée sur la mise en place de ma newsletter
Et si le problème était ailleurs…
Qu’est-ce qui se passe en réalité ?
La réécriture du second tome
- J’ai l’habitude jusqu’alors de travailler avec mon inconscient en cours d’écriture – rêves, idées fugaces qui me traversent… Et là… rien. Je dois travailler autrement, avec d’autres ressources. Et j’ai peur de ne pas réussir…
- Clara est assez éloignée de moi côté caractère… et j’ai peur de ne pas réussir à la dépeindre comme elle est véritablement.
- Je maitrise moins les thèmes évoqués dans ce tome et j’ai peur de mal m’y prendre.
La stratégie sur les RS
- Il y a une lassitude de pas mal de gens sur Instagram… Est-ce toujours l’endroit où poster ?
- A mes yeux, Instagram est devenu une plateforme de créateurs pour créateurs (beaucoup de contenus d’aides aux auteurs). Mais alors, sur quel type de contenus interagissent véritablement les lecteurs ?
- Mon temps est limité (le soir). Soit j’écris, soit je planifie mes posts… Alors pour 20-30 likes… est-ce que je ne perds pas mon temps et ne devrais-je pas me concentrer sur l’écriture ?
La mise en route de ma newsletter
- J’en parle avec ma copine CM depuis des mois… sans pourtant agir. Mais ça me fait de plus en plus du pied (les conseils aux auteurs, la conférence des auteurs indépendants, copywriters que je suis… TOUS en parlent comme du MUST HAVE pour garder le lien avec ses lecteurs).
- Mais j’ai peur de ne pas savoir quoi dire, de saouler, de ne pas avoir assez de contenus alors que mon activité est plutôt en “dents de scie”.
- Et avouons-le : j’ai peur que personne ne soit intéressé.
Je ne suis donc pas bloquée, je sors de ma zone de confort… En d’autres mots :
J’AI LA FROUSSE !!
(C’est de saison avec Halloween)
Maintenant que je le sais, il est temps d’agir pour travailler sur ces peurs.
Et la solution, c’est : ME LANCER !
Car comme Sénèque l’a dit :
“Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles.”
A bientôt.
Nadège